UNION DES MÉTIERS ET
DES INDUSTRIES DE L'HÔTELLERIE
Annonces aides économiques - Bruno Le Maire Conférence de presse – Covid-19
15/01/2021

ℹ️ Fonds de solidaritĂ© : ce qui change
📌1er changement :
Le produit de la vente à distance et de la vente à emporter ne sera pas comptabilisé dans le chiffre d’affaires de référence pour le calcul de l’aide au titre du fonds de solidarité.
Cela vaut à partir du mois de décembre 2020 et ce sera la règle tant que le fonds de solidarité sera en place.
📌2ème changement :
Les entreprises du secteur S1 bis perdant au moins 70 % de leur chiffre dÂ’affaires, auront le droit Ă  une indemnisation couvrant 20% de leur chiffre dÂ’affaires 2019 dans la limite de 200 000 euros par mois.
Ces entreprises pourront bénéficier de cette aide à compter de décembre 2020, quelle que soit leur taille.
📌3ème changement :
Nous prendrons en charge jusqu’à 70% des coûts fixes des entreprises fermées administrativement, ou des entreprises appartenant au secteur S1 et S1 bis, qui ont un chiffre d’affaires supérieur à 1 million d’euros par mois.
Cette aide exceptionnelle s’ajoutera à l’aide du fonds de solidarité.
Elle sera plafonnée à 3 millions d’euros sur la période de janvier à juin 2021.
Nous travaillons également à étendre l’aide complémentaire sur les charges fixes aux plus petites structures qui ne feraient pas 1 million d’euros de chiffre d’affaires par mois mais qui auraient d’importantes charges fixes. Je pense notamment aux salles de sport, aux activités indoor, centres de vacances.
📌4ème changement :
Un effort particulier sera fait pour les viticulteurs, touchés par les sanctions américaines sur les vins tranquilles et le cognac.
Les viticulteurs pourront donc bénéficier de l’aide du fonds de solidarité renforcé :
- S’ils perdent 50% de leur chiffre d’affaires, ils bénéficieront d’une indemnisation de 15% de leur CA 2019 dans la limite de 200 000 euros par mois ;
- S’ils perdent 70% de leur chiffre d’affaires, ils bénéficieront d’une indemnisation de 20% de leur CA 2019 dans la limite de 200 000 euros par mois.
Pour rappel, les formulaires pour les aides du fonds de solidarité au titre de décembre seront en ligne dès demain vendredi 15 janvier sur le site impots.gouv.fr.
ℹ️ PrĂŞt garanti par lÂ’Etat
Nous avons obtenu de la Fédération bancaire française, que toutes les entreprises qui le souhaitent, quelles que soit leur activité et leur taille, aient le droit d’obtenir un différé d’un an supplémentaire pour commencer à rembourser leur prêt garanti par l’Etat.
Une entreprise ayant contracté un PGE en avril 2020, et qui ne serait pas en mesure de commencer à le rembourser en avril 2021, pourra demander un report d’un an et commencer à le rembourser à partir d’avril 2022.
J’invite donc toutes les entreprises à aller voir leur conseiller bancaire pour décider du plan de remboursement de leur PGE.
ℹ️Autres prĂŞts bancaires
Les banques examineront favorablement et de manière personnalisée les moratoires ou les reports d’échéances nécessaires pour les entreprises subissant toujours des restrictions d’activité.
ℹ️ ExonĂ©ration de cotisations sociales
Nous maintenons en janvier les exonérations et les aides au paiement des cotisations que nous avons mises en place en décembre.
Toutes les entreprises du secteur S1 et S1 bis qui sont fermées administrativement ou qui subissent une baisse d’au moins 50% de leur chiffre d’affaires continueront d’en bénéficier.
Différé d’amortissement comptable des biens
De très nombreux biens n’ont pas été utilisés comme ils auraient dû l’être en 2020. Je pense au four des restaurateurs, aux équipements des discothèques ou à certaines machines des sociétés de remontées mécaniques.
Ces biens n’ont donc pas à être amortis comme c’est le cas lors d’une année normale.
Il sera possible de différer l’amortissement comptable de ces biens afin de soulager les comptes des entreprises et de préserver leurs fonds propres.
Conclusion :
A mes yeux, il y a trois enjeux stratégiques dans les semaines à venir.
1er enjeu : que les Français investissent les 100 milliards d’euros qu’ils ont épargnés depuis mars 2020.
Pour cela, je réaffirme qu’il n’y aura pas d’augmentation d’impôts.
2ème enjeu : accélérer la relance de notre économie et décaisser le plus rapidement possible les 100 milliards d’euros du plan de relance.
3ème enjeu : renforcer les fonds propres des entreprises qui en ont besoin.
Notamment grâce aux prêts participatifs soutenus par l’Etat. A ce titre, je présenterai le 28 janvier prochain les modalités de ces prêts.




Mise Ă  disposition des salles polyvalentes pour le BTP : LÂ’Etat installe des restaurants clandestins
16/12/2020   Alors que le bâtiment rĂ©clame depuis plusieurs semaine une dĂ©rogation spĂ©ciale pour faire dĂ©jeuner les ouvriers, le Gouvernement, par la voix des ministres Jacqueline Gourault, ministre de la cohĂ©sion des territoires et des relations avec les collectivitĂ©s territoriales et Alain Griset, ministre dĂ©lĂ©guĂ© en charge des TPE/ PME ont publiĂ© un communiquĂ© pour annoncer la mise Ă  disposition de salles polyvalentes pour la pause dĂ©jeune des salariĂ©s du secteur du BTP. LÂ’Etat a choisi la mise en place des restaurants clandestins dans les salles polyvalentes. LÂ’Etat accorde donc une dĂ©rogation pour les salles polyvalentes pour accueillir du public pour se restaurer et refusent une telle exception sur les salles de restaurants indĂ©pendants. Pour lÂ’UMIH, lÂ’Etat organise une concurrence dĂ©loyale vis-Ă -vis de nos restaurateurs qui sont dĂ©jĂ  Ă  bout Ă©conomiquement et psychologiquement. Les ouvriers du bâtiment sont nos clients rĂ©guliers, hors temps de crise sanitaire, et Ă  lÂ’instar des routiers ou des Ă©quipes sportives qui bĂ©nĂ©ficient de dĂ©rogations nationales ou dĂ©partementales, les ouvriers du bâtiment doivent pouvoir bĂ©nĂ©ficier dÂ’un plat chaud dans nos Ă©tablissements. Nous apparaissons comme la solution la plus logique pour rĂ©pondre aux alertes des fĂ©dĂ©rations professionnelles du BTP et de lÂ’association des maires ruraux de France (AMRF). Nos restaurants sont prĂŞts Ă  recevoir les ouvriers du bâtiment dans des conditions sanitaires optimales. En effet, ils appliqueraient tous le protocole sanitaire renforcĂ© comme les restaurants routiers ou la restauration collective. Cette dĂ©rogation permettrait Ă  nos professionnels de travailler et de ne plus dĂ©pendre essentiellement des aides de lÂ’Etat ni de sombrer dans la dĂ©tresse psychologique. « QuÂ’est-ce qui ne tourne plus rond au Gouvernement ? Alors quÂ’il suffisait, comme nous le demandions, d'ajouter les ouvriers aux routiers dans la liste des dĂ©rogations d'ouverture figurant dans le dĂ©cret du 14 dĂ©cembre 2020. Le Gouvernement continue de prendre des dĂ©cisions pour empĂŞcher nos professionnels de travailler. Le Gouvernement refuse de voir le dĂ©sarroi et le dĂ©sespoir de toute une profession qui se rĂ©unit partout en France depuis des semaines pour crier « laissez-nous travailler et « faites-nous confiance ». Roland HĂ©guy, prĂ©sident confĂ©dĂ©ral de

Accompagnement des entreprises et des travailleurs indépendants : communiqué de presse de l'Acoss
02/11/2020   Madame, Monsieur, Suite Ă  la dĂ©gradation de la situation sanitaire, de nouvelles mesures immĂ©diates d'accompagnement des entreprises et des travailleurs indĂ©pendants en difficultĂ© sont prises par le rĂ©seau des Urssaf, en accord avec les orientations annoncĂ©es par les pouvoirs publics. Ces premières mesures sont prĂ©sentĂ©es dans le communiquĂ© de presse de l'Acoss (Caisse nationale des Urssaf) que nous vous invitons Ă  trouver, en pièce jointe. Elles concernent notamment les toutes prochaines Ă©chĂ©ances de dĂ©claration et de paiement des cotisations sociales pour les employeurs, les travailleurs indĂ©pendants (artisans, commerçants, professions libĂ©rales) et les auto-entrepreneurs. Pour plus d'information sur les mesures exceptionnelles, les Urssaf mettent Ă©galement Ă  disposition un site dĂ©dié : https://mesures-covid19.urssaf.fr.

Un nouveau coup d'arrĂŞt pour l'hĂ´tellerie-restauration qui exige des mesures fortes, claires et responsables pour leur
29/10/2020   La pandĂ©mie se dĂ©veloppe et n'est plus sous contrĂ´le, la France doit se confiner. Tels sont, en substance, les propos tenus ce soir par le PrĂ©sident de la RĂ©publique. Dans la foulĂ©e, il a annoncĂ© une nouvelle fois, que des mesures doivent ĂŞtre mises en Âśuvre pour renforcer la lutte contre la propagation du virus et venir en aide aux entreprises empĂŞchĂ©es de travailler. Ainsi, en dĂ©pit du respect d'un protocole sanitaire renforcĂ© sur l'ensemble du territoire et de leur participation active et responsable Ă  la lutte contre la propagation de virus, tous les professionnels, qu'ils soient, hĂ´teliers, cafetiers, restaurateurs, traiteurs organisateurs de rĂ©ceptions ou discothĂ©caires, se voient encore une fois interdire d'exercer leur activitĂ© du fait des mesures de confinement imposĂ©es par l'État.

L'UMIH dépose un recours gracieux auprès du Premier ministre pour ouverture des débits de boissons
26/10/2020   A l'instar du SNEG & Co, syndicat des lieux festifs et de la diversitĂ©, l'UMIH a adressĂ© un recours gracieux au Premier ministre pour demander l'autorisation d'ouverture des dĂ©bits de boissons (bars sans activitĂ© de restauration) entre 6h et 21h dans les zones de « couvre-feu ». Le dĂ©cret du 16 octobre 2020 interdit partout en zones de « couvre-feu » l'ouverture des dĂ©bits de boissons alors que les restaurants et les Ă©tablissements Ă©tant Ă  la fois restaurants et dĂ©bits de boissons (bars/restaurants) peuvent eux poursuivre leur activitĂ© en dehors des horaires de « couvre-feu » dans le respect d'un protocole sanitaire renforcĂ©. Outre que cette interdiction constitue une atteinte grave et immĂ©diate Ă  la libertĂ© d'entreprendre et fragilise Ă©conomiquement les dĂ©bits de boissons, elle crĂ©e une distorsion de concurrence inĂ©dite entre Ă©tablissements relevant d'une mĂŞme nomenclature. En effet, Ă  l'heure du confinement, puis du dĂ©confinement, aucune distinction n'a Ă©tĂ© faite entre ces Ă©tablissements. Par ailleurs, en termes de contrĂ´les, cette distinction n'apparaĂ®t pas clairement aux autoritĂ©s de police, nationale ou municipale. L'esprit du texte, visant Ă  faire respecter les gestes barrières et la distanciation sociale pour lutter contre l'Ă©pidĂ©mie de Covid-19 n'est aucunement remis en cause si les dĂ©bits de boissons respectent, comme les restaurants et les bars/restaurants, ces mĂŞmes mesures et le protocole sanitaire renforcĂ© dĂ©fini par le ministère de la SantĂ© le 5 octobre dernier. Comme les restaurants et les bars/restaurants, les dĂ©bits de boissons qui ne respecteront pas ces mesures pourront ĂŞtre verbalisĂ©s et sanctionnĂ©s. Conscients de la nĂ©cessite de lutter contre la propagation de l'Ă©pidĂ©mie, les dĂ©bits de boissons rĂ©clament un traitement Ă©quitable Ă  ceux de leurs confrères proposant une activitĂ© similaire. Ci-joint le recours envoyĂ© au Premier ministre.

Je soutiens le MONDE DE LA NUIT
18/06/2020  

Port du masque
10/06/2020   Merci de nous aider Ă  rester ouvert

Partir en France c'est tendance
08/06/2020   LÂ’ UMIH et ses syndicats associĂ©s lancent une campagne digitale « Partir en France, cÂ’est tendance! » avec un mot dÂ’ordre : HĂ´tels, restaurants, traiteurs, cafĂ©s, Ă©tablissements de nuit, thalasso, bowlings pour vos vacances en France.r

Comité interministériel du tourisme et crise du Covid19 :
15/05/2020   Des annonces du Gouvernement qui tiennent compte des demandes du secteur HCR mais des freins importants demeurent pour que le secteur puisse rĂ©ellement repartir Roland HĂ©guy, PrĂ©sident confĂ©dĂ©ral de lÂ’UMIH : « La situation est très grave. Ce ComitĂ© interministĂ©riel du tourisme Ă©tait celui de la survie. La profession a obtenu certaines satisfactions ce matin comme la date de rĂ©ouverture fixĂ©e au 2 juin en zones vertes, mais il reste encore de grandes incertitudes pour notre profession. Beaucoup de leviers reposent sur la dette quÂ’il nous faudra bien rembourser alors que nous ne serons peut-ĂŞtre pas Ă©conomiquement en Ă©tat de le faire. Il faut encore travailler et lÂ’Umih et ses syndicats associĂ©s resteront mobilisĂ©e. CÂ’est pourquoi, nous demandons au Gouvernement que soient organisĂ©s des points dÂ’Ă©tape rĂ©guliers avec le secteur pour rĂ©Ă©valuer le calibrage des aides en fonction de lÂ’Ă©volution Ă©conomique car cette crise sera profonde et durable. »

RĂ©union 30 04 20 : secteur CHRD / Lemaire / Assurances / Banques
07/05/2020   Bruno Le Maire a donnĂ© le nouveau calendrier de travail pour notre secteur CHRD et plus largement le Tourisme.

Lettre Ministère du Travail
30/03/2020   Dans notre prĂ©cĂ©dent courrier du jeudi 26 mars, nous dĂ©noncions que malgrĂ© notre mobilisation auprès du Gouvernement, le dĂ©cret relatif Ă  l'activitĂ© partielle paru au Journal Officiel ne prenait pas en compte les caractĂ©ristiques de notre secteur sur la durĂ©e du contrat de travail.

La vente à emporter et de livraison est autorisée
15/03/2020   Afin de ralentir la propagation du virus covid-19, les Ă©tablissements relevant des catĂ©gories mentionnĂ©es Ă  l'article GN1 de l'arrĂŞtĂ© du 25 juin 1980 susvisĂ© figurant ci-après ne peuvent plus accueillir du public jusqu'au 15 avril 2020 : - au titre de la catĂ©gorie L : Salles d'auditions, de confĂ©rences, de rĂ©unions, de spectacles ou Ă  usage multiple ; - au titre de la catĂ©gorie M : Centres commerciaux ; - au titre de la catĂ©gorie N : Restaurants et dĂ©bits de boissons ; - au titre de la catĂ©gorie P : Salles de danse et salles de jeux ; - au titre de la catĂ©gorie S : Bibliothèques, centres de documentation ; - au titre de la catĂ©gorie T : Salles d'expositions ; - au titre de la catĂ©gorie X : Etablissements sportifs couverts ; - au titre de la catĂ©gorie Y : MusĂ©es. Pour l'application du prĂ©sent article, les restaurants et bars d'hĂ´tels, Ă  l'exception du « room service », sont regardĂ©s comme relevant de la catĂ©gorie N : Restaurants et dĂ©bits de boissons. L'ensemble des Ă©tablissements de cette catĂ©gorie sont en outre autorisĂ©s Ă  maintenir leurs activitĂ©s de vente Ă  emporter et de livraison.

Enseignant(e) en management HĂ´telier et Restauration (H/F)
[non renseigne]   Grande Ă©cole de la gastronomie et de l'hĂ´tellerie de luxe, l'Ă©cole FERRANDI Paris a ouvert un nouveau campus Ă  Rennes, portĂ© par la CCI Ille et Vilaine. Pour renforcer ses Ă©quipes, elle recrute un(e) enseignant(e) en management hĂ´telier et restauration en CDI Ă  Temps plein Ă  compter de mi AoĂ»t. L'Enseignant(e) contribue Ă  la formation et Ă  l'insertion professionnelle des Ă©tudiants en leur enseignant, selon ses compĂ©tences, une ou plusieurs matières spĂ©cialisĂ©es et en suivant leur formation (stage) en entreprise

RECHERCHE ENSEIGNANT EN MANAGEMENT HÔTELIER ET RESTAURATION (H/F)
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Enseignant(e) en management HĂ´telier et Restauration (H/F)
[non renseigne]   La Grande Ă©cole de la gastronomie et de l'hĂ´tellerie de luxe, l'Ă©cole FERRANDI Paris a ouvert un nouveau campus Ă  Rennes

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